La Vallée d’Aoste, un petit coin de paradis au nord-ouest de l’Italie
le 09/06/2021
A la porte de l’hexagone, cette vallée sertie de hauts sommets, insérée entre la France et la Suisse invite à un voyage au cœur de l’authenticité, été comme hiver. Découverte…

Par Martine Delaloye
Dépaysement assuré au cœur d’une vallée d’exception...
Au cœur des Alpes, cette petite région autonome et bilingue italien-français offre un total dépaysement à deux pas de la France. Il suffit de passer le tunnel du Mont-Blanc ou le col du Petit Saint-Bernard pour entrer de plein pied dans un monde, encore un peu trop secret. Une richesse historique incroyable - du passage des romains à la prédominance de la Maison de Savoie- des paysages époustouflants et une belle gastronomie de terroir sont autant d’atouts qui la rendent irrésistible.

Un paysage de carte postale
Un site minéral phénoménal et des forêts touffues entourent le visiteur dès qu’il pénètre dans la Vallée. Le Val, communément appelé Val d’Aoste s’infiltre entre les plus hauts sommets du Mont Blanc, du Mont Rose, du Cervin et du Grand-Paradis. D’autres sommets plus modestes s’estompent à perte de vue dans des dégradés de verts embrumés d’où émergent une multitude de châteaux de conte de fée sur leur éperon rocheux…
Ça et là, sur un pic une chapelle, une église et des villages de maisons aux toits de lauzes s’accrochent dans la pente vertigineuse. Un paysage de carte postale parfait mais aussi un terrain de jeux fantastique pour les amoureux de sports de montagnes (randonneurs en tous genre, trail, trek…), sports nautiques (canyoning, rafting, canoë), les passionnés de patrimoine et de tradition, les fous de nature préservée et tous les hédonistes qui apprécient les bons produits mais qui n’hésitent pas à se prélasser dans les eaux accueillantes des thermes.

La Vallée d’Aoste, le paradis des randonneurs
Des sportifs gentiment débarqués de grandes villes aux experts aguerris sans oublier les familles qui se déplacent en tribu, les 5000 km de sentiers qui sillonnent à travers une nature généreuse ont de quoi satisfaire tout le monde. Joli but de balade pour les uns, de performance, de dépassement de soi, de découverte du patrimoine pour les autres, ou encore halte gustative, chaque randonneur y trouve son compte dans la Vallée d’Aoste. Les vastes espaces naturels -le Parc National du Grand-Paradis, le Parc naturel du Mont Avic et les dix autres réserves naturelles- sont à portée de tous. Le Trekking des Géants, les parcours de la Haute Route, la Via Francigena sont bien connus de ces dévoreurs de kilomètres. Site web : www.lovevda.it/fr/nature/reserves-naturelles

Le dernier né, le Camino Balteo, un chemin de moyenne montagne
Ce tout nouveau chemin de randonnée, inauguré à l’automne 2019, traverse toute la Vallée d’Aoste, vagabonde de village en village – 46 au total. Un chemin tout doux, de moyenne montagne, situé entre 500 et 1900 m, qui a le grand avantage d’être accessible été comme hiver. Une boucle de 350 km et 23 étapes de 4 à 6 h chacune entre Pont Saint-Martin et Morgex. Une belle échappée en pleine nature parsemée de lacs, cascades, réserves naturelles, avec des étapes de charme dans des villages immuables, parfois un peu délaissés, la traversée de forêts denses et de jolies découvertes comme le Pont d’Aël, un aqueduc romain ou le village de Pont-Saint-Martin. A parcourir étape par étape à la journée ou dans sa totalité en 23 jours selon sa forme et son humeur. Une marche au cœur des traditions locales enracinées et toujours vivantes. Site web : www.lovevda.it/fr/camminobalteo

Le pont-aqueduc de Pont d’Aël, une étape historique et bucolique
Cet ouvrage majestueux se situe sur l’itinéraire qui relie Aymavilles à Cogne. Une jolie randonnée grimpe doucement parmi les châtaigniers, érables, peupliers et trembles avec un point de vue exceptionnel sur les gorges du Grand Eyva. Perdu au cœur d’une nature dense, un peu loin de tout, la présence de ce phénoménal pont-aqueduc de Pont d’Aël paraît bien insolite en ce lieu. Construit par les romains au IIIe siècle av.J.C. ce vétéran bien conservé enjambe d’une seule arche à 56 m de hauteur les gorges du Grand Eyvia. On peut dater la construction de cet ouvrage de 50 m de long, grâce à l’inscription latine sur la façade nord, laissée par un entrepreneur originaire de Padoue, sous le règne de l’empereur César Auguste. A l’époque, l’édifice est une construction et propriété privée destinée à amener l’eau nécessaire à l’exploitation et au travail du marbre de la région. Aujourd’hui, on le traverse à ciel ouvert, impressionné par sa robustesse et les profondeurs qu’il domine.

Ou mieux, on pénètre en son antre, en empruntant un passage intérieur, anciennement destiné au passage des hommes et des animaux et récemment aménagé de dalles de verres qui permet d’admirer le magnifique travail d’éclairage et d’aération naturels de l’époque. Une belle découverte qui suscite l’admiration pour ces fabuleux constructeurs qu’étaient les romains.

Ou mieux, on pénètre en son antre, en empruntant un passage intérieur, anciennement destiné au passage des hommes et des animaux et récemment aménagé de dalles de verres qui permet d’admirer le magnifique travail d’éclairage et d’aération naturels de l’époque. Une belle découverte qui suscite l’admiration pour ces fabuleux constructeurs qu’étaient les romains.

De Fontainemore à Donnas, une troisième étape pleine de découvertes...
Le village de Chemp, un musée à ciel ouvert
Sur les hauteurs de Perloz, ce village abandonné enchâssé sur un promontoire rocheux, perdu au cœur des châtaigniers et des vergers, a repris vie grâce à l’initiative du sculpteur Angelo Bettoni, qui en a fait une exposition permanente en plein air. Amoureux de sa région, cet artiste rend hommage au charme du village aux belles maisons anciennes désertées, dont un remarquable grenier du XVIIIe siècle, tout en permettant à d’autres artistes de s’exprimer. Au détour d’une ruelle, d’un toit, des sculptures animalières ou celles des anciens habitants nous surprennent. Une ancienne étable transformée en musée-atelier accueille les artistes et leurs œuvres. Une belle visite bucolique à la belle saison.

Le village perché de Perloz, centre de la résistance
Perloz est l’un de ces petits villages, entourés de vignes, qui s’accrochent à la montagne à 660 m d’altitude dans la vallée de Gressoney. De l’église paroissiale de San Salvatore dont la façade est décorée d’une grande fresque représentant le jugement dernier, la vue s’étend sur la magnifique vallée. Perloz est connu comme l’un des principaux centres de lutte pour la libération et ses groupes de résistance qui opérèrent dès 1943 contre le régime nazi dans la basse vallée d’aoste. Au passage, deux belles maisons seigneuriales de la famille Vallaise arborant de belles fenêtres à croisées et armoiries, retiennent l’attention.
Passants en balade, randonneurs en chemin y font volontiers une halte et se restaurent à l’Osteria Mansion 1695, une table sympathique installée dans une maison qui a du vécu. Une belle adresse qui met les produits locaux à l’honneur. Perloz est aussi le point de départ vers des randonnées de moyenne difficulté vers le col Fenêtre à 1 610 m, la Croix Varfei, la Croix Corma ou le Monte Crabun à 2 710 m.

La ville de Pont Saint-Martin au carrefour de tous les chemins
Etabli sur la Doire Baltée, ce gros bourg a lui aussi son histoire liée à celle des seigneurs de Saint-Martin de la dynastie des Bard puis à la Maison de Savoie. L’édifice symbolique de la ville est le pont romain d’une seule travée de pierre, construit sur la route des Gaules, dominé par un oratoire du Moyen-Age. Jusqu’en 1831, il était l’unique passage pour les voyageurs allant dans la vallée. Les ruines d’un château féodal construit par les seigneurs de Bard se dresse tel une vigie à l’entrée de la vallée de Gressoney.
Chaque année, un carnaval, le plus ancien de la région puisqu’il est arrivé à sa 97ème édition, célèbre les personnages historiques de la cité. Courses de chars, défilé à cheval en costume perpétuent la tradition. Dans la soirée du mardi le diable est brûlé sur le bûcher sous le pont aussi appelé le pont du diable faisant référence à une légende qui voudrait que la construction du pont relève d’une négociation entre Saint-Martin et le diable.

Prendre de la hauteur avec le skyway Monte Bianco
Tous les amoureux de grands sites, les randonneurs ou les skieurs dignes de ce nom connaissent le Skyway Monte Bianco. A la belle saison, c’est un des points de départ vers de belles courses en haute montagne entre granits et séracs. En hiver, les fondus de ski hors-pistes s’élancent dans de fabuleuses descentes dans la « fraîche », dans la Vallée Blanche ou le Glacier du Géant.

Prendre de la hauteur avec le skyway Monte Bianco
Tous les amoureux de grands sites, les randonneurs ou les skieurs dignes de ce nom connaissent le Skyway Monte Bianco. A la belle saison, c’est un des points de départ vers de belles courses en haute montagne entre granits et séracs. En hiver, les fondus de ski hors-pistes s’élancent dans de fabuleuses descentes dans la « fraîche », dans la Vallée Blanche ou le Glacier du Géant.
Ce téléphérique, véritable merveille de technologie grimpe en deux étapes depuis Courmayeur, du Pontal d’Entrèves à 1300 m jusqu’aux à 3466 m à la Punta Helbronner en à peine 18 mn, d’où la vue sur les quatre « plus de 4000 m », le Mont-Blanc, le Mont-Rose, le Cervin, le Grand-Paradis est tout simplement époustouflante ! Le clou du spectacle étant tout de même l’ascension dans une cabine circulaire entièrement vitrée pivotant à 360° pour ne rien rater du panorama sur le Val Veny et le Val Ferret.

A la station intermédiaire, la grande terrasse de la pointe Helbronner, est un fantastique balcon avec vue à 180° où respirer à pleins poumons l’air tonifiant des montagnes en contemplant l’immensité des cimes environnantes. A l’intérieur, une salle Cinéma des Alpes permet d’organiser des manifestations privées et l’histoire des téléphériques est à découvrir à au Hangar 2173. Dès la fonte des neiges, on découvre en famille les 900 espèces du jardin botanique alpin. Il est aussi accessible en environ 2 h à pied en grimpant depuis La Palud, en traversant bois et pâturages. La deuxième étape propose un envol de 30 mn au-dessus du glacier de la Mer de Glace, de l’Aiguille du Midi et de Chamonix. Site web : www.montebianco.com

Aoste, une petite ville historique et animée...

Aoste, ville romaine
Le passé romain d’Aoste est une évidence. C’est par une majestueuse Porte Prétorienne en marbre blanc, dont on doit passer les arches que l’on entre dans la cité. Un passage obligatoire qui conduit à l’imposante façade du théâtre et de l’amphithéâtre romain, un site exceptionnel qui sous les illuminations se pare de féérie.

En poussant un peu plus loin, le Cryptoportique, est une étonnante galerie souterraine à deux nefs, disposée sur trois côtés du Forum, sans doute un lieu de conservation des marchandises. Là encore, l’état et les dimensions de l’ouvrage impressionnent. Il faut ensuite s’aventurer jusqu’à la place Jean XXIII où se trouvent l’église collégiale et le cloître de Saint-Ours et la cathédrale et ses deux tours caractéristiques bâtie à la fin du IVème siècle.

Une petite ville très animée
Les rues piétonnières aux maisons colorées parcourues par une joyeuse foule de touristes connaissent une animation permanente entre terrasses ensoleillées, cafés historiques, boutiques de souvenirs, de maroquinerie italienne, ou de charmantes boutiques familiales de produits régionaux – jambons, fromages de chèvre, huile d’olive, miel, liqueurs ou encore vins héroïquement cultivés.

Ainsi on apprend que le jambon d’Aoste est français. Le jambon régional, c’est le jambon des Bosses, un jambon AOP rouge foncé, au goût aromatique, légèrement salé. Trois autres produits régionaux, la Fontina (pâte pressée au lait de vache) le Fromadzo (fromage de vache auquel s’ajoute un peu de lait de chèvre) et le lard d’Arnad (merveilleusement moelleux et parfumé aux herbes de montagne) bénéficient du label AOP. Il ne faut pas hésiter à se faufiler dans les ruelles piétonnières pour dénicher quelques restaurants typiques comme Stefenelli Desk, un tout nouveau restaurant au cadre agréable où apprécier une bonne cuisine inspirée, élégante et goûteuse.

La foire de Saint-Ours, une fête traditionnelle très prisée
Lors de la Foire de Saint-Ours, la ville est en fête en hommage au Saint d’Aoste, Saint Ours, un ermite simple et discret, qui est aussi célébré dans de nombreuses communes valdôtaines. Selon la tradition, il apprit aux habitants la sculpture des fleurs et animaux sur bois et la fabrication des sabots. Tous les 30 et 31 janvier cette foire est une grande manifestation populaire célébrant l’industriosité des gens de montagne. A cette occasion, un millier d’exposants, d’artistes valdôtains présentent leur travail. Une fête séculaire, populaire et joyeuse qui illumine les rues de la ville, le lieu idéal où s’approvisionner en l’artisanat local de qualité, vannerie, laines tissées, dentelles, masques…

La Vallée d’Aoste, de château en château
Dans la Vallée d’Aoste, il n’y a pas moins d’une centaine de châteaux perchés sur leur promontoire. Presque un château par village. Leur nombre témoigne du passé illustre dans cette région montagneuse où, sur cette voie de passage vers les Alpes, ils constituaient des bastions de défense. Plus tard, ils deviennent les résidences des seigneurs locaux désireux d’afficher leur richesse et notoriété Aujourd’hui, ils constituent une véritable richesse historique. Parmi les plus connus, le château d’Issogne à Nus et ses incroyables graffitis, le Château de Fénis, un des plus moyenâgeux châteaux valdôtains faisant profusion de murs crénelés et de tours de guet.

Le Fort de Bard, un complexe culturel et historique dans un bastion
Sur la route romaine taillée dans la roche, cet éperon rocheux à l’entrée de la basse Vallée d’Aoste, a de tous temps constitué une position stratégique, donnant accès aux Alpes. On retrouve la trace d’un premier château en 1034, avant qu’en 1242, il ne devienne possession définitive de la Maison de Savoie. Converti plus tard, en fort militaire, il est rendu célèbre par un épisode militaire Napoléonien. En effet en mai 1800, l’armée austro-piémontaise ne résista que deux semaines avant de tomber sous les assauts de Napoléon Bonaparte, grâce à une ruse de celui-ci qui fit alors passer les 40 000 hommes de son armée. Il s’empressa ensuite de démanteler « ce vilain castel de Bard » qui risquait de lui causer quelques problèmes à l’avenir. Reconstruit au XIXe siècle par les souverains de Savoie, ce bastion phénoménal domine le bourg de Bard à 100 m de hauteur où il tient toujours sa position stratégique sur la route vers la France ou la Suisse.
Complètement restauré en 2006, il abrite le Musée des Alpes, les Alpes des enfants (un espace ludique dédié aux plus jeunes), les Prisons, le Musée des fortifications et des frontières ainsi que des expositions permanentes et temporaires. Des événements - concerts, spectacles et commémorations historiques - y sont organisées. 33 ascenseurs et 155 escaliers en permettent l’accès. Site web : www.fortedibard.it

Récemment l’hôtel Cavour et des Officiers a trouvé ses marques entre ces murs historiques. Onze chambres de belles dimensions au design élégant offrent vie de château et vue imprenable sur la Vallée. Un ascenseur est laissé à l’usage des clients qui souhaitent sortir le soir. Sites web : www.hotelcavour.fortedibard.it et www.fortedibard.it
Notre carnet d’adresses :
De bonnes adresses à fréquenter dès que les conditions sanitaires le permettront.
Restaurant Stefenelli Desk à Aoste
Restaurant Stefenelli Desk à Aoste

Dans le cœur historique d’Aoste, ce nouveau restaurant a investi un ancien bâtiment de 1700 dans une jolie ruelle. Le Chef Marco Stefenelli s’inspire du terroir valdôtain et concocte une cuisine créative que lui a inspiré ses passages dans différents pays et auprès de chefs réputés. On peut recommander la soupe de fèves, un plat typique très riche, avec saucisse, pâtes, tomates, croutons de Fontina ou encore l’omble chevalier à la salicorne suivi d’une crème à la petite arvine, un vin emprunté aux voisins helvètes. Site web : www.stefenellidesk.com
Chambres d’hôte au château La Tour de Villa
Chambres d’hôte au château La Tour de Villa

Dans ce château médiéval du XIIe siècle inséré dans de belles murailles à créneaux dentelés surmontées d’une belle tour carrée, quatre chambres d’hôtes vastes, confortables ont été aménagées dans l’aile seigneuriale avec une recherche toute particulière de la propriétaire. Une belle halte hors du temps au cœur d’un paysage vallonné et verdoyant à quelques kilomètres seulement du téléphérique d’Aoste-Pila et de la ville d’Aoste. Le Parc National du Grand Paradis et le Parc animalier d’Introd ne sont pas bien loin non plus. Site web : www.tourdevilla.it
Hôtel La Moraine enchantée
A Gressan, à proximité d’Aoste, au cœur d’une moraine formée de sédiments d’origine glacière, actuellement réserve naturelle, un chalet du XVIIe siècle rénové dans le respect de l’architecture de l’époque en utilisant des matériaux originels, compte une dizaine de chambres d’hôtes cocooning dotées de belles salles de bain. Site web : www.moraineenchantee.com
Hôtel La Moraine enchantée
A Gressan, à proximité d’Aoste, au cœur d’une moraine formée de sédiments d’origine glacière, actuellement réserve naturelle, un chalet du XVIIe siècle rénové dans le respect de l’architecture de l’époque en utilisant des matériaux originels, compte une dizaine de chambres d’hôtes cocooning dotées de belles salles de bain. Site web : www.moraineenchantee.com
Restaurant l’Osteria Mansion 1695 à Perloz

Dans une très vieille maison de 1695, croulant sous la vigne vierge, ancienne halte hôtelière, la cheffe, venue de Hongrie cuisine les produits locaux du jardin ou de proximité. Tout est frais, simple et goûteux. Le pain y est fabriqué à la main. Le cadre est minimaliste entre pierre, bois et acier avec une pointe de contemporain. L’accueil est à l’image de la maison. Une valeur sûre. Une bonne adresse. Il est prévu dans l’avenir l’ouverture de chambres d’hôtes. Site web : www.osteriamansion1695.it
Y aller :
De France, en voiture, on peut rejoindre la Vallée d’Aoste en passant les tunnels du Mont-Blanc ou du Saint-Bernard. Prévoir des temps d’attente à l’entrée des tunnels. En train, Paris-Turin, 2 trajets/jour en environ 5 h 40. Site web : www.oui.sncf
La gare de Turin est reliée à la Vallée d’Aoste (aux villes de Pont-Saint-Martin et Châtillon/Saint-Vincent) en 130 mn. Le parcours vers les vallées latérales sont assurés par des bus aux horaires des trains. Ou en train Paris-Bellegarde en 2 h 40. Prévoir transfert. En avion, arrivée aux aéroports de Turin, Milan, Genève.
Les Thermes de Pré-Saint-Didier, 1000 ans d’histoire
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Dans un décor rupestre, à l’à pic des sommets, le long de la Doire, les thermes offrent un bon moment de détente dans la douce chaleur des eaux qui jaillissent depuis des millénaires aux cœur de la montagne. Bains de vapeur, bains hydromassants, cascades tonifiantes, saunas, couloir chromatique souterrain, grotte de sel, salle de relaxation… Il est recommandé de profiter de panier de dégustation réconfortant accompagné d’un verre de vin, sur la terrasse en profitant du cadre magnifique. Attention, le lieu est très fréquenté par les couples ! Site web : www.qcterme.com
Consulter le site web : www.lovevda.it
(Photos : Office de Tourisme et Martine Delaloye).
Pour en savoir plus :
Consulter le site web : www.lovevda.it
(Photos : Office de Tourisme et Martine Delaloye).
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