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Une croisière inoubliable au Groenland

L’Ocean Diamond fait partie de ces petits paquebots de charme qui vous transportent vers des contrées peu fréquentées. Cap sur le Groenland pour un itinéraire exceptionnel. Découverte…

Bienvenue à Reykjavik… cité étrange, surprenante, fantasque avec un bel appétit de vivre. La capitale de l’Islande – autrement dit la “Baie des fumées”, en raison des panaches de vapeur qui s’échappent des sources chaudes voisines – est tout sauf froide ! La ville bénéficie du Gulf Stream. Un petit tour de ville et apparait la discrète silhouette de l’Ocean Diamond, un élégant petit paquebot. Le temps est venu d’embarquer et de s’installer. A 20h, sous un soleil généreux, on largue les amarres pour mettre le cap sur l’archipel des îles Vestmann situé au large de la côte du sud de l’Islande

L’archipel des îles Vestmann…

On profite d’une paisible navigation puis, au petit matin, on distingue déjà l’archipel formé par des éruptions volcaniques sous-marines il y a plus de 10.000 ans. Plus récemment, l’Île de Surtsey a émergé de la mer en 1963. Un pilote vient de rejoindre la passerelle de l’Ocean Diamond pour aider le navire à rejoindre le port encaissé de l’île Heimaey -la seule île habitée de l’archipel- . Celle-ci fut victime d’une éruption violente en 1973.

Au cours de cette escale à Heimaey – l’île est petite 2km sur 3 et compte 4.000 habitants- , on sillonne une ville agréable avec ses multiples maisons colorées et ses nombreux magasins. Il est indispensable de gagner le volcan Eldfell qui avait fait tant de dégâts sur cette petite île en 1973. Avec un véhicule, on peut se rendre tout au sud de l’île près de Garðsendi où on trouve un très jolie crique avant de se rendre tout près à Stórhöfði. A la mi-journée, on reprend la mer. Le grand voyage débute véritablement par une navigation à travers le détroit du Danemark en direction du Groenland. Cette voie maritime a été empruntée par les colons vikings il y a plus de 900 ans.

Ambiance chaleureuse et intime…

A bord, les passagers assistent dans le grand salon à des conférences et scrutent l’horizon afin d’observer les oiseaux et mammifères marins qui peuplent ces eaux. D’autres rejoignent la passerelle de l’Ocean Diamond ouverte pratiquement en permanence. Cela fait partie de “l’esprit” de la compagnie Iceland Pro Cruises et c’est plutôt très rare à bord des navires. Il fait bon passer du temps à observer les officiers de quart. On peut aisément bavarder avec le personnel de la passerelle et ainsi mieux connaître et appréhender leur métier.

On apprécie ce petit paquebot de 124 mètres de long à faible tirant d’eau. Parce qu’il est à taille très humaine et qu’il est largement ouvert sur l’extérieur. Pas de doute, il règne à bord une ambiance chaleureuse et intime. Ses 113 cabines et suites répondent aux aspirations des amoureux des croisières de grande tradition et des amateurs du grand large. Toutes sont spacieuses, lumineuses grâce à la présence de doubles hublots, de sabords ou encore de balcons privés.

Ocean Diamond Iceland Pro Cruises Observation LoungeSi le grand salon permet de recevoir tous les passagers en même temps, les espaces intimes ne manquent pas à l’image de l’Observatoire. Le restaurant principal propose une cuisine raffinée. On y affiche des menus presque gastronomiques servis par un personnel qualifié et jovial.

Bienvenue à Kalaalitt Nunaat…

Il est pratiquement midi et l’on aperçoit les côtes du Groenland. Bienvenue à Kalaalitt Nunaat -la terre des hommes- peuplée de 55 000 âmes sur un territoire de 2 186 600 km2. Inutile de souligner que la place ne manque pas.

L’Ocean Diamond entame une navigation à travers les 112 km du détroit du Prins Christian Sund situé entre la pointe sud du Groenland et l’archipel du Cap Farewell. Ce détroit permet de naviguer entre les icebergs qui proviennent de l’Inlandsis, l’énorme calotte glaciaire dont les 2 000 000 m3 de glace représentent près de 10% des réserves d’eau douce de notre planète. Les superlatifs ne manquent pas, on nous rappelle que le Groenland, c’est la plus grande île de la planète. Les paysages composés de fjords et d’icebergs défilent dans toute leur splendeur. Contrairement à une idée reçue l’iceberg, ce n’est pas de l’eau congelée. Il s’agit d’une neige comprimée, très dure qui enferme les gaz présents dans l’air au moment de sa formation. Les coloris vont du blanc au bleu marine taillé comme du cristal. Ces monstres pèsent des millions de tonnes et les pêcheurs s’en méfient. Car, en dépit de leur apparente immobilité, il faut rester attentif à leurs mouvements…

Narsarsuaq, Narsaq…

Les villes et villages du Groenland se lovent sur une étroite bande côtière, le long des côtes ouest-est. Les Inuits y sont établis depuis le début du 13e siècle et ont développé une société capable de vivre sous un climat parfois très rude. Bien qu’en phase avec le progrès, au fil des générations, artisanat, danses traditionnelles, démonstrations de kayak et costumes colorés témoignent d’une culture encore bien présente.

L’Ocean Diamond rejoint par un fjord Narsarsuaq ; là où s’est installé le célèbre chef viking Eirikur Raudi, Erik le Rouge, banni d’Islande. Il a baptisé cette « Terre Verte » en raison de la présence des nombreuses vallées fertiles dans la région. Assez curieuse, cette vraie-fausse ville s’anime autour de l’aéroport, l’une des trois anciennes bases militaires aménagées sur l’île par les américains pendant la Seconde guerre mondiale. Sa côte est bien découpée, ses glaciers vêlent des icebergs et les paysages sont en perpétuel devenir. Ici, on peut s’associer aux trépidations de la vie “urbaine”, flâner, contempler les eaux du fjord, partir à la conquête des glaciers et visiter des vestiges vikings du village voisin de Qassiarssuk où Eric le Rouge débarqua en 982. On y trouve la première église chrétienne édifiée sur le continent Nord-américain. Pour beaucoup d’entre-nous, cette pointe Sud du pays signifie : froid et obscurité profonde. Il va s’en dire qu’il peut y faire très frais mais c’est, au contraire, le royaume de la lumière, l’endroit le plus doux de l’Arctique ! Une toundra côtière très verdoyante composée de lichens, de mousses, de plantes à fleurs, de bruyères, d’aulnes nains buissonnants borde l’Inlandis. Plusieurs fermes isolées et espacées de plusieurs kilomètres tentent l’élevage du mouton et du caribou. A cela s’ajoute la culture des pommes de terre, des raves et des carottes. L’ensemble de ces productions, bien que modestes, assurent un revenu à une centaine de familles de la région.

Grandiose et silencieuse…

Non loin, on visite Narsaq -2200 habitants- … la petite ville semble très accueillante dans son habit estival. Elle n’est reliée par aucune route aux autres villages distants de 80 à 120 kilomètres. Seuls moyens de communication : l’hélicoptère ou le bateau. C’est un monde bigarré où se mêlent depuis 1830 -date de sa fondation- le bleu, le rouge, le jaune, le vert et le blanc des maisons en bois. Entourée par de nombreux détroits et fjords bloqués huit mois par an par les glaces, Narsaq est à la fois grandiose et silencieuse. Elle s’étend sur une vaste plaine abritée par la grande montagne Qaqarsuaq dont le nom signifie le plateau. A bord, l’équipe d’expédition germano-islandaise très expérimentée est composée de guides, de conférenciers ainsi que de chefs d’expédition spécialisés en ornithologie, biologie marine, histoire… Avant l’heure du dîner, l’équipe nous convie – comme chaque jour – à un petit briefing qui expose le programme à venir.

Le lendemain, notre navire pénètre dans le fjord Ikka. Il est à peine 7h du matin, aussitôt, les canots pneumatiques sont mis à l’eau, il ne nous reste plus qu’à nous diriger vers la marina située à l’arrière de l’Ocean Diamond où une noria de pneumatiques nous attend. C’est parti pour une découverte du fjord et des fonds marins constitués de colonnes formées il y a plus de 10 000 ans. Le spectacle est impressionnant !

Cap sur Nuuk et Sisimiut…

De retour à bord, l’équipage nous choie, le thé nous attend. On nous annonce que le navire va faire route vers Nuuk, la capitale et la plus grande ville du Groenland avec 18 000 habitants ! Une capitale qui allie modernité et traditions. Après une journée d’escale, le navire se dirige vers Sisimiut, la deuxième « ville » du Groenland peuplée de seulement 5600 habitants.

Tôt le matin, les premiers passagers sortent de leur sommeil pour ne rien manquer de l’arrivée à Sisimiut, blottie au pied d’un grand rocher au nord du Cercle Polaire. Fondé en 1756, le port de Sisimiut fut longtemps un port baleinier et de commerce. Par sa position, 100 km au nord du Cercle polaire, le port est considéré comme le point libre de glaces le plus septentrional du Groenland de l’Ouest. Il s’agit du plus grand centre national de la pêche à la crevette après avoir été un important port d’échanges commerciaux entre le Nord et le Sud.

Les eaux toujours libres de glace fait de ce port naturel une halte pour les baleiniers européens au tournant du XIXème siècle. Avec son allure de petit village aux maisons multicolores parfois montées sur pilotis, Sisimiut possède la plus vieille église du pays, l’église bleue de Bethel, qui daterait de 1775. Elle est encore utilisée pour certaines célébrations exceptionnelles, mais les fidèles se réunissent désormais dans l’église rouge. Plusieurs jeunes inuits dont le large sourire inonde leurs visages basanés n’hésitent pas à saluer le visiteur par un amical signe de la main. A la fois chasseurs et agriculteurs, ces groenlandais sont chaleureux et leur sens de l’hospitalité n’est pas un vain mot. Malgré les influences étrangères, les inuits constituent l’une des minorités de la planète. Ils conservent cependant une volonté affichée de communier avec la nature encore inviolée, les traditions et le modernisme, sans tomber dans les pièges de la société de consommation. En regagnant l’Ocean Diamond, le soleil couchant, le violet de l’épilobe, la fleur nationale, contrastent agréablement avec le tapis de verdure.

Le bonheur des passagers…

Après cette escapade, les passagers se reposent en cabine ou échangent autour d’un verre au bar. Chacun est bien imprégné de l’atmosphère du Groenland, un monde au-delà de tout ce que l’on imagine. On retrouve Paul au bar qui n’hésite pas à parler “du voyage de sa vie… c’est une contrée à la fois puissante et fragile comme l’a évoqué notre conférencier, mes amis et moi nous vivons vécu un rêve éveillé… on retient surtout l’expérience d’une rencontre d’un peuple accueillant, et de paysages extraordinaires”. “L’Ocean Diamond, ce n’est pas un palace, mais un navire à taille très humaine et confortable” indique une passagère qui en est à son troisième séjour à bord de ce navire construit en Allemagne en 1974 pour le transport de marchandises, puis transformé en navire de croisière en 1986. Anne et son compagnon que nous croisons au détour d’une coursive nous confient : “nous pensions que les navires de croisière ne faisaient escale que dans les grandes villes… avec ce bateau, nous avons la chance de visiter des endroits peu connus”. A bord, la formule buffet est à l’honneur le midi, avec des plats préparés à partir des produits frais. Le soir venu, le choix porte entre quatre entrées, quatre plats principaux et quatre desserts du menu principal, ou encore quelques plats à la carte, le tout copieusement arrosé de vins judicieusement sélectionnés.

Ilulissat, l’univers des icebergs géants…

Le paquebot file plus encore vers le nord, presque au bout du monde pour un site qui fascine tous les voyageurs amoureux de sensations fortes : Ilulissat. Une petite ville dont le nom signifie “icebergs” en Kalallisut (langue Groenlandaise). On en rêve depuis longtemps, à travers les films et les lectures des récits d’expéditions mais cette fois nous y sommes ! L’Isfjord d’Ilulissat est inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco. Dans cette ville, on ne compte que 4 500 Inuits. Près du port, trône la grande usine bleue de la Royal Greenland où sont conditionnées des tonnes de flétans et de crevettes. Jaune, rouge, mauve, verte ou bleue telles sont les couleurs des coquettes maisons en bois d’Ilulissat. Certaines, accrochées aux flancs des collines, sont construites sur pilotis, bordées de terrasses et d’escaliers de bois. On observe des habitations individuelles mais aussi quelques “barres” de type HLM. Quelques rues pentues sillonnent la ville ; au centre, on trouve une artère principale Kussangajannguaq bordée par le bureau de poste, une école, l’office de tourisme, des commerces et un supermarché…

Plus loin, on croise des panneaux indicateurs inconnus de notre code de la route. Le symbole est pourtant très explicite : “attention, traversée de traîneaux ! “. Ce moyen de locomotion est encore très utilisé l’hiver pour se rendre à la pêche sur la banquise. Pratiquement toutes les familles à Ilulissat possèdent un traîneau ainsi qu’une meute de chiens.

Une atmosphère atypique…

Là, près des maisons, règne une certaine agitation parmi les chiens groenlandais dont le pelage est bien clairsemé l’été. Grognements, aboiements puis hurlements suivent et se répandent progressivement à tous les chiens de la ville. Une bien drôle de cacophonie. Cette ambiance sonore typique des agglomérations groenlandaises est indissociable des souvenirs que l’on ramène d’un voyage dans ce pays. Soudain en marchant, un paysage de toute beauté s’offre à nous : au premier plan, un champ de linaigrettes ressemblant à un champ de coton, au second plan, une montagne de glace comme saupoudrée de neige. Et voici que l’on se retrouve devant le glacier Jakobshavn, le plus grand producteur de glace de tout l’hémisphère nord. Un spectacle étonnant et extraordinaire à la beauté presque irréelle. Les icebergs, sculptures de glace aux couleurs translucides poursuivent leur chemin éternel et semblent scintiller de mille feux. Ils sont immenses et nombreux, certains peuvent atteindre jusqu’à 100 m au dessus de l’eau. Ce glacier produit 6,25 milliards de mètres cubes d’icebergs par an, soit une quantité d’eau douce équivalente à la consommation annuelle française, et il avance de 20 mètres par jour ! Comment se lasser de cet endroit, un univers de glaciers et d’icebergs…

Une balade fascinante au milieu des icebergs…

Le soir venu, l’Ocean Diamond quitte Ilulissat et la navigation entre des glaçons flottant à la surface de l’eau et étincelant comme des paillettes sous les rayons d’un soleil généreux est un vrai spectacle. On se croirait en pleine débâcle, comme si la banquise venait juste de se disloquer. Quelle splendeur ces nuances de blancs, de bleus et cette transparence bleutée de la glace sous les rayons du soleil… sans parler des reflets qui dansent sur les eaux sombres ! Et puis, on constate une multitude de formes d’icebergs : tabulaires, arrondis, fracturés, marbrés ou même formant une arche et des sculptures de glace. Soudain, un souffle au loin ! C’est une baleine à bosse qui se montre et nous l’accompagnons pendant un petit moment. Doucement, le navire quitte la baie de Disko et se dirige vers le glacier Equip un peu plus au nord.

L’immensité des paysages et le manque de repères ne permettent pas d’évaluer facilement les distances. Alors que le paquebot approche le Glacier Eqip Sermia, nous avons du mal à réaliser que le front glaciaire s’étend sur 6-7 km et s’élève à 50 mètres au-dessus de la mer.  Un doux bruissement parvient aux oreilles, celui de la glace le long de la coque du bateau. Par moment, c’est un bloc plus volumineux qui heurte le bateau contraignant le capitaine à rechercher un passage moins encombré. Plus le navire progresse plus la densité et le volume des icebergs deviennent imposants. Ce glacier perdu est bien connu de la communauté scientifique Française. C’est ici, que les Expéditions Polaires Françaises dirigées par Paul Emile Victor avaient établi leur camp de base afin d’étudier la calotte glaciaire du Groenland en 1948.

L’un des plus beaux villages du Groenland…

Le lendemain, le paquebot atteint Uummannaq à près de 500 km au nord du cercle polaire arctique. Uummannaq est considéré comme l’un des plus beaux villages du Groenland. Il est lové au pied d’un piton rocheux en forme de coeur. Sublime !

Jaune, rouge, mauve, verte ou bleue telles sont les couleurs des coquettes maisons en bois accrochées aux flancs des collines. Le débarquement se fait par bateaux pneumatiques puis chacun déambule à pied dans le quartier du petit port. On s’arrête volontiers devant l’église de granit entourée de maisons de tourbe et le musée qui rassemble des expositions consacrées, entre autres, aux momies de Qilakitsoq.

La côte sud de l’île de Disko…

Notre périple se poursuit par la côte sud de l’île de Disko et le village de Qeqertarsuaq -la seule ville de l’île volcanique de Disko- qui a accueilli les chasseurs de baleines venus d’Europe dès la fin du XVIéme siècle.  De bon matin alors que la brume enveloppe encore les maisons, chacun se lance à la découverte de la ville. Place à la découverte de l’église octogonale et du musée. Au cours du petit tour du village, on assiste à une représentation de chants traditionnels dans l’église  Il est bientôt midi, il faut quitter à regret, Qeqertarsuaq. La navigation reprend par un grand moment… les passagers occupent les ponts extérieurs pour admirer le paysage. Tandis que le bateau semble jouer avec les icebergs, parfois le craquement de la glace brise le silence des lieux. C’est l’heure de la contemplation. Dans 24 heures, il faudra songer à quitter le navire avec un petit pincement au cœur mais les souvenirs d’un voyage hors du commun resteront gravés à jamais dans toutes les mémoires.

La croisière s’achève au fond du fjord de Kangerlussuaq, proche la calotte glaciaire, là où l’aviation américaine avait installé une base aérienne au cours de la Seconde Guerre Mondiale. Après le départ des militaires en 1992, la base a été transformée en aéroport international. On peut l’affirmer, la croisière à bord de l’Ocean Diamond, allie la rencontre d’un peuple accueillant, et de paysages extraordinaires façonnés par la glace. Une croisière d’exploration au Groenland assure autant de paysages grandioses que d’émotions !

A savoir : en réservant avec Island Tours…

A bord, règne une atmosphère décontractée, sympathique et familiale. Le pull en laine remplace le smoking et la joie de vivre et l’enthousiasme la politesse exagérée. Lorsque vous naviguez à bord de l’Ocean Diamond, avec au maximum 224 compagnons ayant les mêmes valeurs que vous, l’accent est mis sur la nature dans toute sa splendeur ainsi que les arts de vivre islandais et groenlandais.

A savoir : • Départs garantis • Un navire de taille humaine • Toutes les cabines avec vue extérieure • Pension complète à bord • Guides anglophones durant la croisière • Conférences et programme de divertissement en anglais à bord • Ligne d’urgence francophone 7j/7. Conseils pratiques : En été, au Groenland, quand le thermomètre monte jusqu’à 15 °C, on ressent tous une sensation de chaleur. Il est conseillé d’emporter des chaussures de randonnée légères, un coupe-vent, un vêtement de pluie et un pull-over. Une moustiquaire et une crème anti-moustique peut s’avérer indispensable en juillet et août.

Pour en savoir plus :

Pour partir sur cette croisière, consulter en France, l’agence Island Tours 23, boulevard Henri IV, 75004 Paris, tél. 01 56 58 30 20. Site web : www.islandtours.fr

(Photos : D.Krauskopf et Iceland Pro Cruises).

 

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