Chasse au trésor en Loire Bourguignonne
le 16/02/2021
Des villes historiques au riche patrimoine religieux, un vignoble fameux et une gastronomie de terroir, partez à la découverte de la Nièvre sur terre et au fil de la Loire. Découverte…

Par Martine Delaloye
Nevers, une bourguignonne classée ville d’art et d’histoire...
Sur la rive droite de la Loire, et sur une butte stratégique, la cité nivernaise n’est qu’à 2 h de Paris par la route, située juste au confluent de la Nièvre et de la Loire. Une position qui a permis son développement dès le Moyen-Age.
Le Pont de Loire, l’ouvrage le plus instagrammable de la cité
De cet emblématique édifice aux 14 arches flanquées de fortes piles résistantes aux grandes crues, la vue sur la ville s’étend sur les quais de Loire, la Cathédrale, la Tour Goguin, le Palais Ducal… En un clin d’œil, un parfait résumé de l’architecture de Nevers.

Une ville fortifiée depuis le VIIe siècle
C’est à pied, à vélo ou en touk-touk lors d’un tout nouveau circuit que l’on part à la découverte du centre piétonnier, jusqu’aux remparts moyenâgeux dont une partie importante subsiste et jusqu’à la Porte du Croux. Cet édifice remarquable était à la fois Tour-Porte défensive et Tour-Maîtresse contrôlant les visiteurs. La balade se poursuit à travers les ruelles pavées, bordées de petites maisons typiques de l’ancien quartier des Faïenciers, un art venu d’Italie qui a eu longtemps droit de cité en ces lieux. Aujourd’hui encore, les belles faïences à la couleur si particulière due au trempage dans un bain d’émail bleu de cobalt après cuisson, restent un art très apprécié, entre tradition et modernité que l’on retrouve chez certains faïenciers, telle La Faïencerie Georges.

Le Palais ducal, une longue histoire au cœur de la ville
Premier château de la renaissance, le château de Clamecy nommé depuis 1850 le Palais Ducal est en quelque sorte le cœur de la vie municipale, le point de départ idéal pour une visite de la ville historique alentour.
Un château renaissance souvent retouché
Cette résidence des seigneurs du Nivernais a vu passer de grandes familles qui, chacune à son tour, a apporté sa touche ou sa retouche à l’architecture ! Construit en 1470, par Jean de Clamecy, fils de Philippe de Bourgogne, comte du Nivernais, la façade évoque plutôt la Renaissance et laisse supposer quelques remaniements. Les successeurs, les Clèves, ducs et pairs du royaume, lui ont offert au passage une parure au goût du jour. Louis de Gonzague, poursuit l’embellissement en ouvrant d’élégantes lucarnes Renaissance et de hautes cheminées. En 1609, son fils entreprend de doter le château d’une esplanade. Une belle idée qui aujourd’hui offre un vaste panorama sur la Loire. Puis Mazarin en fut propriétaire, les Mancini aussi jusqu’à la Révolution avant que l’édifice ne tombe dans l’escarcelle de la municipalité puis du département.

La Cathédrale de Saint-Cyr et Sainte-Julitte
Située sur une butte au centre de la ville, elle apparaît du Pont de Loire tel un vaisseau gothique. Elle est dédiée au culte de Saint-Cyr et Sainte Julitte. Saint-Cyr, enfant martyr à l’âge de 3 ans et sa mère Sainte-Julitte également martyre, dont l’histoire s’est scellée en 304 à Tarse, au sud de l’actuelle Turquie.
Le Pont de Loire, l’ouvrage le plus instagrammable de la cité
De cet emblématique édifice aux 14 arches flanquées de fortes piles résistantes aux grandes crues, la vue sur la ville s’étend sur les quais de Loire, la Cathédrale, la Tour Goguin, le Palais Ducal… En un clin d’œil, un parfait résumé de l’architecture de Nevers.

Une ville fortifiée depuis le VIIe siècle
C’est à pied, à vélo ou en touk-touk lors d’un tout nouveau circuit que l’on part à la découverte du centre piétonnier, jusqu’aux remparts moyenâgeux dont une partie importante subsiste et jusqu’à la Porte du Croux. Cet édifice remarquable était à la fois Tour-Porte défensive et Tour-Maîtresse contrôlant les visiteurs. La balade se poursuit à travers les ruelles pavées, bordées de petites maisons typiques de l’ancien quartier des Faïenciers, un art venu d’Italie qui a eu longtemps droit de cité en ces lieux. Aujourd’hui encore, les belles faïences à la couleur si particulière due au trempage dans un bain d’émail bleu de cobalt après cuisson, restent un art très apprécié, entre tradition et modernité que l’on retrouve chez certains faïenciers, telle La Faïencerie Georges.

Le Palais ducal, une longue histoire au cœur de la ville
Premier château de la renaissance, le château de Clamecy nommé depuis 1850 le Palais Ducal est en quelque sorte le cœur de la vie municipale, le point de départ idéal pour une visite de la ville historique alentour.
Un château renaissance souvent retouché
Cette résidence des seigneurs du Nivernais a vu passer de grandes familles qui, chacune à son tour, a apporté sa touche ou sa retouche à l’architecture ! Construit en 1470, par Jean de Clamecy, fils de Philippe de Bourgogne, comte du Nivernais, la façade évoque plutôt la Renaissance et laisse supposer quelques remaniements. Les successeurs, les Clèves, ducs et pairs du royaume, lui ont offert au passage une parure au goût du jour. Louis de Gonzague, poursuit l’embellissement en ouvrant d’élégantes lucarnes Renaissance et de hautes cheminées. En 1609, son fils entreprend de doter le château d’une esplanade. Une belle idée qui aujourd’hui offre un vaste panorama sur la Loire. Puis Mazarin en fut propriétaire, les Mancini aussi jusqu’à la Révolution avant que l’édifice ne tombe dans l’escarcelle de la municipalité puis du département.

La Cathédrale de Saint-Cyr et Sainte-Julitte
Située sur une butte au centre de la ville, elle apparaît du Pont de Loire tel un vaisseau gothique. Elle est dédiée au culte de Saint-Cyr et Sainte Julitte. Saint-Cyr, enfant martyr à l’âge de 3 ans et sa mère Sainte-Julitte également martyre, dont l’histoire s’est scellée en 304 à Tarse, au sud de l’actuelle Turquie.
L’architecture relate une histoire mouvementée. Construite entre le 6e et 11e siècle, elle possède un chœur roman du XIe siècle édifié sur les fondations carolingiennes et un chœur gothique. Le bombardement de juillet 1944 l’a lourdement endommagée mais a aussi permis de mettre à jour les vestiges d’un baptistère du VIe siècle. Et aussi, la création de nouveaux vitraux soit 130 baies, confiée à des artistes contemporains aidés de maîtres verriers. De grands noms s’en sont donné à cœur joie, chacun dans leur créativité : Jean-Michel Alberola, Claude Viallat, Gottfried Honegger, Raoul Ubac et François Rouan ont participé à cette réalisation. Cette décision de confier à des artistes contemporains n’a pas été sans contestation. Aujourd’hui, que l’on aime ou pas, la diversité des vitraux retient l’attention.

La Tour Bohier, la plus belle vue sur Nevers
Attenante à la cathédrale dans sa partie sud et construite entre le XVe et le XVIe siècle, elle a été entièrement rénovée, et depuis 2006 se visite comme un musée. Il ne faut donc surtout pas hésiter à en gravir les 285 marches pour bénéficier de la vue exceptionnelle à 52 m de hauteur. Une ascension en trois étapes. Au premier étage, se trouvent des statues du XIIe siècle, au deuxième niveau des sculptures extérieures qui ont été mises à l’abri. Puis l’escalier se resserre et grimpe jusqu’au sommet où le panorama est fantastique sur les toits de la ville,le vieux Nevers et ses églises, le couvent Bernadette de Soubirous, la Loire, le Bec d’Allier. Au loin se laissent deviner les régions environnantes, le Morvan, le Berry… Pratique : Les visites limitées à 18 personnes sont gratuites. Inscriptions à l’Office de Tourisme de Nevers au O3 86 68 46 00

Sur la rive droite de la Loire et sur les chemins des Saint-Jacques-de-Compostelle, la ville doit son nom aux bons pères qui faisaient la charité aux pélerins de passage. Mais aujourd’hui, on peut dire qu’elle doit son prestige au courage de Prosper Mérimée. Alors Inspecteur Général des Monuments Historiques, il s’est mis en travers du projet du roi de France - Louis-Philippe 1er - de démolir l’église Notre-Dame et le monastère clunisien qui contrariait son projet de voie royale allant de Paris à Nevers. Actuellement, ces édifices religieux sont totalement imbriqués dans la ville si bien qu’il est bien difficile de les identifier au premier coup d’œil. Ainsi sur la Place Sainte-Croix, on est dans l’église Notre-Dame ! On est même surpris que des appartements privés en occupent encore certaines parties.

Le Prieuré Notre-Dame de la Charité-sur-Loire, un ensemble religieux remarquable
La fondation de ce prieuré bénédictin remonte à 1059. L’église est surtout réputée pour son chevet à chapelles rayonnantes et sa façade ouest avec ses deux tympans. Elle appartenait à un important prieuré dépendant de la puissante abbaye de Cluny. Depuis 1998, le Prieuré Notre-Dame est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en tant qu’étape majeure sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Depuis l’an 2000 un vaste programme de restauration vise à lui rendre son prestige. Le jardin des Bénédictins, le cloître, les salles gothiques et les salles du XVIIIe sont restaurées et accueillent expositions et concerts, conférences…

La Tour Bohier, la plus belle vue sur Nevers
Attenante à la cathédrale dans sa partie sud et construite entre le XVe et le XVIe siècle, elle a été entièrement rénovée, et depuis 2006 se visite comme un musée. Il ne faut donc surtout pas hésiter à en gravir les 285 marches pour bénéficier de la vue exceptionnelle à 52 m de hauteur. Une ascension en trois étapes. Au premier étage, se trouvent des statues du XIIe siècle, au deuxième niveau des sculptures extérieures qui ont été mises à l’abri. Puis l’escalier se resserre et grimpe jusqu’au sommet où le panorama est fantastique sur les toits de la ville,le vieux Nevers et ses églises, le couvent Bernadette de Soubirous, la Loire, le Bec d’Allier. Au loin se laissent deviner les régions environnantes, le Morvan, le Berry… Pratique : Les visites limitées à 18 personnes sont gratuites. Inscriptions à l’Office de Tourisme de Nevers au O3 86 68 46 00
La Charité-sur-Loire, la ville dont le patrimoine religieux fut sauvé par Prosper Mérimée...
Sur la rive droite de la Loire et sur les chemins des Saint-Jacques-de-Compostelle, la ville doit son nom aux bons pères qui faisaient la charité aux pélerins de passage. Mais aujourd’hui, on peut dire qu’elle doit son prestige au courage de Prosper Mérimée. Alors Inspecteur Général des Monuments Historiques, il s’est mis en travers du projet du roi de France - Louis-Philippe 1er - de démolir l’église Notre-Dame et le monastère clunisien qui contrariait son projet de voie royale allant de Paris à Nevers. Actuellement, ces édifices religieux sont totalement imbriqués dans la ville si bien qu’il est bien difficile de les identifier au premier coup d’œil. Ainsi sur la Place Sainte-Croix, on est dans l’église Notre-Dame ! On est même surpris que des appartements privés en occupent encore certaines parties.

Le Prieuré Notre-Dame de la Charité-sur-Loire, un ensemble religieux remarquable
La fondation de ce prieuré bénédictin remonte à 1059. L’église est surtout réputée pour son chevet à chapelles rayonnantes et sa façade ouest avec ses deux tympans. Elle appartenait à un important prieuré dépendant de la puissante abbaye de Cluny. Depuis 1998, le Prieuré Notre-Dame est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en tant qu’étape majeure sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Depuis l’an 2000 un vaste programme de restauration vise à lui rendre son prestige. Le jardin des Bénédictins, le cloître, les salles gothiques et les salles du XVIIIe sont restaurées et accueillent expositions et concerts, conférences…

Au nord de la ville fortifiée, il est une visite à ne pas manquer. Celle des remparts, très bien conservés qui offre une vue panoramique sur les toits et bien au-delà sur la Loire et la campagne berrichonne. Aujourd’hui, La Charité-sur-Loire garde beaucoup de charme entre ruelles pavées, boutiques atypiques comme cette librairie regorgeant de livres anciens, et ses murs tagués de citations, un rappel du Festival du Mot qui a lieu en temps normal chaque printemps et qui attire passionnés de lettres et amateurs de livres. Elle a trouvé une place privilégiée au cœur d’un environnement exceptionnel entre la Loire sauvage, juste en bordure de la magnifique forêt des Bertranges, un autre trésor de la région.

La Forêt des Bertranges, le poumon de la Nièvre, un massif forestier ancestral préservé
L’histoire de cette belle forêt remonte à La Charité date à laquelle elle fut offerte au prieuré de la Charité. Mais déjà à l’époque gallo-romaine et surtout à la fin du Moyen-Age, elle alimentait les nombreuses forges de la région, dont il demeure beaucoup de vestiges. Elle s’étend sur 10 000 hectares, majoritairement plantés de chênes.
L’histoire de cette belle forêt remonte à La Charité date à laquelle elle fut offerte au prieuré de la Charité. Mais déjà à l’époque gallo-romaine et surtout à la fin du Moyen-Age, elle alimentait les nombreuses forges de la région, dont il demeure beaucoup de vestiges. Elle s’étend sur 10 000 hectares, majoritairement plantés de chênes.
C’est la deuxième forêt productrice de chênes en France après la forêt de Tronçais, dans l’Allier. Mais on y trouve également des hêtres, charmes, merisiers, tilleuls, châtaigniers, qui lui permettent de mieux résister aux facteurs externes. Près de 80 arbres ont plus de 300 ans et certains arbres comme un érable ondé atteignent des prix importants. Confiée à l’ONF, l’Office National des Forêts, l’exploitation est raisonnée et contribue à la gestion durable et à la préservation du patrimoine forestier. Une dizaine de personnes travaille sur cette forêt domaniale et organise le morcellage des arbres prêts à être coupés, la conservation de la biodiversité et le maillage d’îlots où parmi les branchages morts se développent différentes espèces d’oiseaux, insectes, animaux…
Elle fournit les éléments de la tonnellerie de la Charité-sur-Loire et dans le monde entier, un secteur important en France mais aussi produit du bois de sciage pour la rénovation de bâtiments ou encore la rénovation des parquets de chênes du Château de Versailles ou l’aménagement luxueux des yachts en chêne ou hêtre. L’ONF veille aussi à la gestion des sentiers de VTT, de randonnée, de parcours équestres, de chasses à courre, au chevreuil, sanglier, ainsi qu’à l’estimation de la population et santé animale. Elle suit également les conséquences du changement climatique. Déambuler tranquillement au cœur de cette magnifique forêt, c’est s’offrir un joli moment de paix et prendre un grand bol d’air.
La Faïencerie Georges, un siècle de tradition
Depuis 1898, quatre générations perpétuent le savoir-faire de la Faïencerie Georges, en apposant les deux nœuds verts et le poinçon, certifiant que toutes les pièces sont fabriquées et décorées à l’atelier. Depuis 2010, dans une belle maison bourgeoise, Carole Georges et Jean-François Dumont ont posé un nouveau regard décalé sur les décors de pièces non seulement décoratives mais aussi à usage quotidien, tout en conservant le savoir-faire traditionnel, le calibrage des pièces et l’illustration à main levée. Scénettes humoristiques, instantanés poétiques, éclectiques créent le lien entre entre vie et décor.
A visiter :
La Faïencerie Georges, un siècle de tradition
Depuis 1898, quatre générations perpétuent le savoir-faire de la Faïencerie Georges, en apposant les deux nœuds verts et le poinçon, certifiant que toutes les pièces sont fabriquées et décorées à l’atelier. Depuis 2010, dans une belle maison bourgeoise, Carole Georges et Jean-François Dumont ont posé un nouveau regard décalé sur les décors de pièces non seulement décoratives mais aussi à usage quotidien, tout en conservant le savoir-faire traditionnel, le calibrage des pièces et l’illustration à main levée. Scénettes humoristiques, instantanés poétiques, éclectiques créent le lien entre entre vie et décor.

Dernières vacances à la plage, jolie vue par la fenêtre… Ducasse le grand chef leur a commandé des services de vaisselle pour ses restaurants de Tokyo et Kyoto. D’autres pièces moins onéreuses sont décorées par transfert de chromo. Leur art 100% français est récompensé par le label « Entreprises du Patrimoine Vivant » (Label EPV) et membre des Ateliers d’Art de France. Une belle adresse. Site web: www.faienceriegeorges.com (A visiter aussi le Musée de la Faïence).
Au fil de la Loire en Mignonnette
La Loire, ce dernier grand fleuve sauvage d’Europe a toujours joué un grand rôle dans cette région. Jusqu’au milieu du XIXe siècle, c’était la voie principale par laquelle transitaient les marchandises jusqu’au port de Nantes, le bois principalement, la pierre de tuffeau, le blé, le vin, le sel, les produits coloniaux… Elle est aussi à l’origine du développement de la faïence. Sans elle, le transport des pièces n’aurait pas été possible. L’arrivée du chemin de fer a eu raison de ce trafic. Aujourd’hui, le grand fleuve est le paradis des pêcheurs et des amoureux de la nature. La faune et la flore y ont repris leurs droits. Un joyau écologique à découvrir à vélo, en canoë ou en
Mignonette, un bateau ancestral à fond plat.
A faire :
Au fil de la Loire en Mignonnette
La Loire, ce dernier grand fleuve sauvage d’Europe a toujours joué un grand rôle dans cette région. Jusqu’au milieu du XIXe siècle, c’était la voie principale par laquelle transitaient les marchandises jusqu’au port de Nantes, le bois principalement, la pierre de tuffeau, le blé, le vin, le sel, les produits coloniaux… Elle est aussi à l’origine du développement de la faïence. Sans elle, le transport des pièces n’aurait pas été possible. L’arrivée du chemin de fer a eu raison de ce trafic. Aujourd’hui, le grand fleuve est le paradis des pêcheurs et des amoureux de la nature. La faune et la flore y ont repris leurs droits. Un joyau écologique à découvrir à vélo, en canoë ou en
Mignonette, un bateau ancestral à fond plat.

Sébastien Boudin, ligérien passionné par ce fleuve au cours impétueux et surprenant construit ses propres bateaux à fond plat, capables de remonter presque jusqu’à l’estuaire à Saint-Nazaire. Il propose des balades d’une heure, un peu hors du temps, au gré d’une nature apaisée dont il connaît tous les secrets qu’il livre au fur et à mesure que le bateau se faufile doucement sur l’eau, évitant les écueils, les ensablements ou petites îles, sous l’œil attentifs des hérons, cormorans et autres oiseaux qui y trouvent refuge. Contact : 06 62 85 35 18 - www.bateaudeloire.wixsite.com/mignonette
Nous vous proposons quelques bonnes adresses à ne pas manquer dès que les hôtels, restaurants et bars rouvriront.
Le Domaine du Grand Bois à Gimouille, un bain de nature
A 2 h de Paris, ce village de cottages a trouvé ses marques dans un grand parc arboré de 100 hectares doté d’un étrange lac. Un site idéal pour des vacances à la campagne ou un week-end au vert, en famille, en amoureux ou en tribu. Chaque cottage s’organise comme une maison de famille très confortable où le vaste salon est un lieu convivial où se retrouver ainsi que la terrasse où prendre l’apéro en pleine nature.
Notre carnet d’adresses :
Nous vous proposons quelques bonnes adresses à ne pas manquer dès que les hôtels, restaurants et bars rouvriront.
Le Domaine du Grand Bois à Gimouille, un bain de nature
A 2 h de Paris, ce village de cottages a trouvé ses marques dans un grand parc arboré de 100 hectares doté d’un étrange lac. Un site idéal pour des vacances à la campagne ou un week-end au vert, en famille, en amoureux ou en tribu. Chaque cottage s’organise comme une maison de famille très confortable où le vaste salon est un lieu convivial où se retrouver ainsi que la terrasse où prendre l’apéro en pleine nature.
Deux piscines, dont une couverte, jacuzzi, hammam, sauna ou massage au SPA, espace fitness où prendre soin de son corps. Tennis, ping-pong, billard, tyrolienne, accrobranche, trampoline, châteaux gonflables, paintball, sarbacane, location de vélos occupent les petits et les grands. Certaines activités sont avec participation. La cuisine bénéficie de tout l’équipement nécessaire pour préparer les repas. Sinon, chaque matin, pour le petit déjeuner, un panier gourmand pour la famille est à emporter dans le cottage. Et quand les temps meilleurs le permettront, le restaurant et sa terrasse offriront des possibilités de restauration.
A proximité, La Ferme Intention permet d’organiser, mariage, anniversaire, cousinade, séminaires et évènements professionnels. 12 chambres offrent 45 couchages. Possibilité aussi de louer les cottages pour accueillir les participants. Sites web : www.grand-bois.com et www.lafermeintention.fr

Restaurant Auberge de la Poule Noire à La Charité sur Loire
Au cœur de la ville, il ne fallait pas moins que le site historique du Prieuré à proximité, pour que ce restaurant charitois, respectueux des produits du terroir propose une cuisine juste et savoureuse. La tradition est aux commandes, avec la cassolette d’œufs meurette, le mont d’or chaud, le gratin de ravioles du Dauphiné. La brochette de bœuf Simmental fait un petit détour chez vos voisins helvètes pour le plaisir des papilles. La convivialité simple et honnête est au rendez-vous. Une adresse incontournable. Adresse : 4 place des pêcheurs, tél.03 86 59 49 28.
A proximité, La Ferme Intention permet d’organiser, mariage, anniversaire, cousinade, séminaires et évènements professionnels. 12 chambres offrent 45 couchages. Possibilité aussi de louer les cottages pour accueillir les participants. Sites web : www.grand-bois.com et www.lafermeintention.fr

Restaurant Auberge de la Poule Noire à La Charité sur Loire
Au cœur de la ville, il ne fallait pas moins que le site historique du Prieuré à proximité, pour que ce restaurant charitois, respectueux des produits du terroir propose une cuisine juste et savoureuse. La tradition est aux commandes, avec la cassolette d’œufs meurette, le mont d’or chaud, le gratin de ravioles du Dauphiné. La brochette de bœuf Simmental fait un petit détour chez vos voisins helvètes pour le plaisir des papilles. La convivialité simple et honnête est au rendez-vous. Une adresse incontournable. Adresse : 4 place des pêcheurs, tél.03 86 59 49 28.
Restaurant Le Chat à Cosne sur Loire

Le cadre joue la simplicité et l’authenticité. Les bouteilles de vin créent le décor et font honneur au vignoble alentour. La cuisine bistronomique est à l’unisson de cet état d’esprit avec un mélange subtil des consistances croustillantes et fondantes et des associations inventives et goûteuses, comme les caillettes d’agneau, céleri aux amandes grillées, ail des ours et écrevisse ou le dos de bar, piquillos farcis et compotée de fenouil, citron, chorizo, coques et sarriette. On peut compter aussi sur la fraîcheur des produits. Belle carte des vins, cela va de soi. Le plus, le service attentif se fait dans la simplicité et la bonne humeur. Site web : www.restaurant-lechat.fr
Hôtel Le Relais de Pouilly *** à Pouilly sur Loire
A deux pas du vignoble de Pouilly sur Loire, cet hôtel est magnifiquement situé sur la réserve naturelle de Loire. A quelques kilomètres seulement, la Charité sur Loire et son site clunisien inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco est un joli lieu de découverte. Nevers, ville d’art et d’histoire, les châteaux de la route Jacques Cœur, ou encore Bourges et son admirable cathédrale ne sont pas très loin. Il ne faut pas faire l’impasse sur le restaurant qui est une bonne table. La cuisine régionale suit les saisons. Les escargots de Bourgogne au beurre persillé sont des incontournables. Le menu gastronomique offre un beau choix de plats, aiguillette de canard aux agrumes, brochette d’onglet ou queue de Lotte au gingembre. Site web : www.relaisdepouilly.com
Y aller :
En voiture : à 2 h depuis Paris, un peu plus de 3 h 15 depuis Lyon / En train : Paris Bercy/Nevers, entre 1 h 56 et 2 h 26 selon les trains.
Hôtel Le Relais de Pouilly *** à Pouilly sur Loire
A deux pas du vignoble de Pouilly sur Loire, cet hôtel est magnifiquement situé sur la réserve naturelle de Loire. A quelques kilomètres seulement, la Charité sur Loire et son site clunisien inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco est un joli lieu de découverte. Nevers, ville d’art et d’histoire, les châteaux de la route Jacques Cœur, ou encore Bourges et son admirable cathédrale ne sont pas très loin. Il ne faut pas faire l’impasse sur le restaurant qui est une bonne table. La cuisine régionale suit les saisons. Les escargots de Bourgogne au beurre persillé sont des incontournables. Le menu gastronomique offre un beau choix de plats, aiguillette de canard aux agrumes, brochette d’onglet ou queue de Lotte au gingembre. Site web : www.relaisdepouilly.com
Y aller :
En voiture : à 2 h depuis Paris, un peu plus de 3 h 15 depuis Lyon / En train : Paris Bercy/Nevers, entre 1 h 56 et 2 h 26 selon les trains.
Pour en savoir plus :
Consulter les sites web : www.bourgogne-tourisme.com -www.bourgognefranchecomté.com et www.nièvre-tourisme.com
(Photos : Martine Delaloye et Office de Tourisme, Charlène Jorandon).
(Photos : Martine Delaloye et Office de Tourisme, Charlène Jorandon).
À lire aussi